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Work work work 📖

Je commence sincèrement à penser que mes journées ont définitivement plus de vingt-quatre heures... Je tablerai plutôt sur du quarante-huit / soixante-douze.


J'ai reçu l'épreuve papier de mon roman vendredi après-midi, et je viens juste de terminer la seconde relecture (la première s'étant faite sur le PC) et les corrections de cohérence, d'orthographe, de coquilles, de double espaces etc. Le tout bien sûr, en m'occupant de ma fille, qui, elle aussi, m'a aidée pour la correction, à sa manière (cf. les traits de stylo sur mon livre 😅)


Mon cinquième enfant de papier... Lâchement délaissé durant trois longues années, où tout un processus a dû se mettre en place. Le deuil, la tristesse, la vie brutalement arrêtée. Trois ans plus tard, à un chapitre de la fin du roman, je l'accueille de nouveau avec compassion. Mais lorsque je reçois le format papier et que je me relis, j'ai l'impression que ce livre n'est pas le mien, comme une progéniture étrangère, un déni.


Au fur et à mesure de la relecture, je le reconnais enfin. Il est mien. Je fais de mon mieux pour l'améliorer, lui rendre ses lettres de noblesse.


Alice, quant à elle, est sûre d'une chose : c'est encore un livre de maman. Que je l'aime, mon Alice...


Le thème du roman ?

Une romance lesbienne.


Pourquoi ?

Car je ne sais pas écrire des histoires d'amour hétérosexuelles autres que la mienne.


Les corrections sont faites, maintenant je rejoins Néva et Bucky sous la couette.








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Un petit post en vitesse pour vous annoncer que je travaille actuellement sur un nouveau site internet, avec mon propre nom de domaine. Le temps que tout se mette en place, je n'écrirai plus ici. lula

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